En continuant de remonter vers l'ouest, le fort de Bikaner lui résiste mieux aux intempéries.


A l’intérieur un tableau noir présente le nombre de visiteurs depuis son ouverture au public, en mettant en parallèle touristes étrangers et indiens. Les chiffres augmentent systématiquement d’une année sur l’autre et on le comprend au regard de la beauté des lieux et de l’histoire des Rajas qui l’accompagne.

Dans la vielle ville à l’intérieur des remparts l'étroitesse des rues ne changent rien aux fonctionnement des motos et triporteurs, le klaxon est l'unique moyen de communication avec deux significations : "bouge de la" ou éventuellement "attention j'arrive". La stridence de ses trompettes en fait un concert continu que seul l'emprunt des rues adjacentes permet d'atténuer, sachant que de toute manière le trafic est si important et englué que l’intérêt de cet avertisseur est très limité.